Interview de Maya Atig, Directrice générale de la FBF

A l’occasion du lancement de l’édition 2020 de l’opération « J’aime ma boîte », nous donnons la parole à Maya Atig, Directrice générale de la Fédération bancaire française.

 Bonjour Maya Atig ! La FBF depuis plusieurs années au rendez-vous de « J’aime ma boîte » et en 2020 vous devenez partenaires. Racontez-nous les raisons de cette fidélité.

C’est un rendez-vous auquel la FBF tient car c’est une excellente façon de rappeler l’aventure humaine qu’est l’entreprise. C’est une occasion de partager un moment convivial, le jour J, le 15 octobre cette année. Mais surtout, cette fête des entreprises nous invite à rappelle l’essence même de l’esprit d’entreprise : ce sont les entrepreneurs et les collaborateurs qui forment, ensemble, le cœur du réacteur.

Et cela prend encore plus de sens dans la période actuelle. La crise sanitaire aurait pu compliquer les relations humaines et encore plus les relations humaines au sein de l’entreprise. Nous avons traversé une période très chargée sur le plan professionnel, où il a fallu rester soudés malgré la distance physique. Dans ce contexte, « J’aime ma boîte » prend un sens tout particulier.

« J’aime ma boîte et je me bats pour elle » ?

Oui, je trouve ce slogan en parfaite adéquation avec notre état d’esprit. Les banques ont été de ces entreprises d’importance vitale, qui n’ont pas cessé leur activité pendant le confinement. Elles étaient attendues par leurs clients, particuliers et professionnels. Elles sont été au rendez-vous, avec un engagement total. La mobilisation de tous les collaborateurs l’a permis avec succès. Ce slogan, « J’aime ma boîte et je me bats pour elle » incarne la responsabilité et la combativité collectives des banquiers et de leurs clients, et aussi la confiance réciproque avec laquelle nous devons continuer à avancer.

Le secteur bancaire a réussi à mettre en place des dispositifs spécifiques, du général (120 Mds€ de PGE pour presque 600 000 entreprises, par exemple) au particulier (des rendez-vous personnalisés pour trouver les meilleures solutions pour chacun). Ce travail est reconnu, c’est un honneur et c’est très motivant bien évidemment. Chaque métier, chaque maillon de la chaîne, a été sollicité : commercial, back-office, informatique, risques, juridique… C’est vraiment important de le redire : le travail collectif a permis une chaîne solide pour soutenir notre économie.

De quoi êtes-vous particulièrement fière dans votre boîte ?

Ma boîte, c’est la FBF, une petite entreprise car nous sommes une centaine, au service de 340 banques représentant 360 000 collaborateurs sur tout le territoire. Le secteur bancaire est une industrie centrale pour chaque citoyen, et pour l’économie. Ce sont les banques qui financent les projets des ménages et des entreprises. L’enjeu est énorme.

La FBF, c’est donc « la petite boîte dans les grandes boîtes » ! Je suis très fière de notre équipe, car nous traitons de nombreux sujets, parfois tortueux, complexes, mais nous y arrivons toujours, en nous appuyant sur nos adhérents, en dialoguant énormément avec tous nos interlocuteurs privés et publics, en France et à l’international, avec l’objectif d’apporter des solutions et d’expliquer de façon accessible notre métier, nos actions, nos contraintes et nos propositions.

Je suis vraiment fière de cela, du collectif, de la qualité du travail et de l’écoute, de notre capacité à nous connecter à l’écosystème.

Il n’est pas toujours évident, dans une période si sensible, de garder le rythme et la motivation des troupes au plus haut niveau. « J’aime ma boîte » en est l’occasion …

Oui, c’est pour cela que la FBF est heureuse d’en être partenaire. Les contraintes sanitaires sont là et empêcheront les petits-déjeuners ou pots, mais les collaborateurs sauront se retrouver, virtuellement ou physiquement, en petit comité, pour des moments conviviaux et des surprises.

Rendez-vous donc le 15 octobre, et d’ici là sur les réseaux sociaux !